A cause... euh... Grâce au numéro 5, les bureaucrates ont enfin compris que nous les prenions pour des cons. La FSE n'apprécie pas du tout qu'on les traite de staliniens, Julien de la Ligue Communiste n'apprécie pas être cité en exemple du militant triste, et LO a pris le petit parano au premier degrès.
Si vous avez eu des echos de votre côté sur le thème "Le Cri du Fennec est un torchon infâme, un journal bourgeois", faîtes nous en part...