Je reprends ce charmant titre d'album des Dead Kennedys pour vous souhaiter plein de bonnes choses pendant la quinzaine. Je me barre, j'éteints le PC, je serais loin d'internet, à la campagne. Vive la douce contrée de Bourgogne, où on bouffe bien, où le vin c'est pas de la villageoise (et pourtant au même prix).
Bonnes vacances à ceux qui en ont (bonne verte contrée Ravach'), et bon courage à ceux qui n'en n'ont pas.
Je reviendrai pour voir comment le feuilleton a avancé (et m'y remettre).
Pour vous donner un nonos à ronger, voici un sujet:
LES VACANCES ET LEURS DEBOIRES
Ca permet aux travailleurs d'être un peu moins véreux et de se marrer. Faut être imaginatifs ou de fouiller dans sa mémoire et se souvenir des grands moments de solitude estivales.
Je commence:
Genre revenir avec une bléno d'un voyage club med...
Moment de grande solitude: avec des potes, on part en camping dans le sud ouest en se disant que ça va être cool... C'est là que l'on remarque qu'on n'a pas de glacière, des camping gaz pourris, que les fourmis attaquent toute la bouffe, qu'il n'y a pas un poil d'ombre alors qu'on crève de chaud, que le camping est à coté de l'aérodrome... Ce séjour s'est terminé par une fuite car les orages arrivaient... On s'est bien marré, mais c'était de belles vacances de la loose.
2 ans plus tard, c'est se faire réveiller avec un pote dans sa caravane (normal on se barrait le lendemain donc ma tente était pliée et je dormais sur la banquette et lui dans le lit) par le responsable du camping, et ouvrir en caleçon avec la vieille gaule du matin. La tête du responsable a été mythique à notre sortie de caravane...